new Noise #48 disponible

Bien aimé l’interview aussi et je savais pas non plus que tout avait commencé avec No Brain No Headache que je suivais aussi à l’époque.

Très interresant sur le coté ouvert des metalleux de new noise … perso c’est une des raisons qui fait que je suis abonné au mag, c’est surtout pour les découvertes hors-métal (et interview métal/hx au passage) que je retrouve pas ailleurs.

+1

Dire que j’ai tous les mags depuis le premier Velvet…
A mes yeux, cette “collection” représente une bible sans équivalent.

même génération mêmes groupes cités.

Oui, comme je le précise, ce sont les premiers qui me sont venus à l’esprit, sans trop réfléchir donc, et dans ces cas-là, tu penses toujours aux albums qui en plus d’être bons, ont une valeur “sentimentale” pour toi. Et effectivement, cette sélection est loin d’être surprenante pour quiconque fréquente un site comme celui-ci et a aux alentours des 40 ans.

Je me souvenais que vous aviez monté Eklektik à la fin de NBNH, mais pas que vous vous étiez aussi rencontrés sur le forum !

Merci

Oh ben j’aurais sorti les mêmes à ta place :smile: Avec Condense en plus peut-être pour la french touch

plus ça va, plus j’aime lire ces articles-fleuve, l’histoire d’une vie ou presque, pour des activistes de la musique autres que les musiciens.
je trouve ça hyper intéressant, bourré d’anecdotes, très agréable de lire une histoire humaine qui s’est développée sur plusieurs années. On s’y projette, on s’y reconnaît parfois, et de fait, on se rappelle que rien n’est simple, que tout a des conséquences. Il y a un côté effet papillon que je trouve très sain, parc que naturel.

ça vaut pour l’interview d’Olivier, mais aussi, par exemple, pour l’interview du gars du Hellfest.

Là, je crois savoir pourquoi : je rejoins le propos d’Olivier, quand il explique qu’au fil des années c’est finalement de plus en plus difficile d’écrire sur la musique. Comment le faire sans avoir l’impression se répéter ?
C’était d’ailleurs, je pense, mon pire blocage (et donc, défaut) sur ma dernière année d’articles (hormis mon ultime papier, le report du Hellfest de je-ne-sais-plus-quelle-année, qui restera l’un de mes préférés - de papier, pas de Hellfest).
Et du coup, je le ressens aussi en tant que lecteur. je survole plus qu’avant les chroniques, je lis beaucoup en diagonale (et intégralement un petit pourcentage, ou après avoir acheté l’album), mais je lis 100% des interviews/dossiers, que je connaisse ou pas.
Puis bon, c’est tellement chiant de lire ces groupes qui, finalement, n’ont rien à dire (multiplication des interviews à donner, manque de recul sur un nouveau disque, peu d’anecdotes à donner, etc). Alors, quand d’un coup tu lis des propos qui reviennent sur plusieurs années, abordent d’autres sujets que la seule musique, c’est génial.

En ce qui me concerne, je trouve que ce qu’est New Noise aujourd’hui, depuis 2 ou 3 ans peut-être, représente l’apogée de ce qui s’y est écrit pendant 15 ans. C’est à mes yeux la meilleure mouture du mag, la plus éclectique, la plus “mature”, la plus équilibrée.

Je m’y retrouve en partie parce que j’ai la sensation de voir des évolutions parallèles : la mienne, celle de certains rédacteurs, de nos goûts, de notre approche de la musique, de notre manière de la “juger” (ou pas), de la décortiquer. Et comme je fonctionne comme cela avec la presse musicale depuis toujours (je découvre d’abord, je tente des conseils aveuglément, petit à petit je me reconnaît dans certains chroniqueurs, et à partir de là, je les suis comme un padawan suivrait son maître jedi…), j’ai un vrai besoin de connaître leurs derniers coups de coeur, et de voir comment évoluent leurs goûts et, parfois, leur style d’écriture. J’ai besoin de prendre de leurs nouvelles, en fait !

j’ai pas réussi à lire l’interview du gars du hellfest sur le site d’ailleurs…

Par contre, moi c’est vraiment l’inverse quand je lis un magazine. De toute façon, de tous temps, ce sont les chroniques que j’ai préféré lire. Et écrire. J’aime toujours autant ça, je mets juste plus de temps pour le faire maintenant.

Et en ce qui concerne les interviews, tu ne peux pas reprocher à un jeune groupe, déjà moins rodé à l’exercice, de ne pas avoir autant de choses à dire qu’un plus vieux, ni au journaliste d’avoir moins de questions précises ou originale à lui poser. Il y a les interviews de présentation et les autres. (je fais un peu mon captain obvious là)

Il suffit de taper l’URL et le mot de passe Hellfest (avec une majuscule au H), je vois dans les stats du site qu’elle est lue tous les jours en ce moment, et moi-même j’arrive à y accéder.

ha mais évidemment !

je ne reproche pas, je constate !

Et ce ne sont pas forcément les jeunes groupes qui me dérangent le plus d’ailleurs…
Certains jeunes groupes ont des choses à dire, quand d’autres vieux tournent en rond au bout de 3 phrases (Big’N… haha, merde quoi…)

ça a beau etre la meilleure lettre qui soit je ne l’avais sans doute pas mise en majuscule

j’ai enfin fini ce numéro … je mets toujours 3 plombes à lire les new noise, mais bon c’est parce que je lis ça « attentivement » … en faisant mon lot de découvertes parfois …

Ceci dit, j’ai beaucoup aimé, comme nombre de gens, l’interview de Yoann du Hellfest. Ce qui est plaisant, c’est qu’il parle sans langue de bois, n’hésitant pas à dire son fond de pensée, ce qui est bien trop rare.
Par contre, ça m’insupporte ces fins d’interviews à lire on-line.
Alors, oui je sais que Noise ne le fait que rarement (c’est la seule fois je crois), mais je connais d’autres magazines grand public qui en sont friands. Et honnêtement, si je me fais chier à acheter du papier, c’est parce que j’aime pas lire les trucs sur le oueb, sinon je ne ferai que ça …
Enfin bon, pour une fois ça passe. Bien sur. :slight_smile:

bah des fois, l’entretien est tellement intéressant, qu’il ne peut pas être tronqué.
Et tu ne peux pas décider que les 3 pages initialement prévues, vont en devenir 5 ou 6 : ça a un coût, tout ça. Et particulièrement quand il s’agit d’un article sur un activiste, et pas un musicien.

C’est encore le cas dans l’avant-dernier numéro, un autre entretien se finit sur le site du canard